Le 22 février 1973, Paul MAGÈS, constatant que son opinion sur l'évolution des véhicules du futur ne présente plus d'intérêt pour la marque, demande sa mise à la retraite à Monsieur ROLLIER, P.D.G de Citroën à cette époque.

Il propose néanmoins de réserver une partie de son temps de retraite à travailler pour la marque, afin de contribuer à l'approche du "but" comme il l'écrit dans sa lettre à M.ROLLIER, et particulièrement sur la transmission hydrostatique qui était sur le point d'aboutir.

Il ne sera pas donné suite à sa proposition, il en sera très affecté.